Holocratie et gestion holistique des biens communs

__Group__: 4 - Implementation of open government and new actors __Track__: 15 - Implementation of open government __Type__: Roundtable __Language__: fr __Committee Rating__: 1.00 / 5 (1 votes) __Public Rating__: 0.00 / 5 (0 votes) ### Abstract Proposition d'une logistique synergétique des ateliers de réflexions/actions holistiques, pour une politique commune plus juste et équitable. ### Description De compétences techniques en informatique, déjà rien que pour aider à établir les futurs thèmes à aborder et les mailing listes des participant(e)s volontaires aux GRA (Groupe Réflexions/Actions). Pas GT pour Groupe Travail, car la notion du travail maintient l'homme dans le statut irresponsable de bête de somme, même en cadre supérieur...TOUT doit être révisé d'urgence car les éléments s'emballeront plus vite que prévus par les spéculateurs climatiques officiels... ### [submitter - Darna MEN](https://fr.ogpsummit.org/osem/users/899) ### Other Informations __Creation Date__: 2016-07-19 19:57:29 __Update Date__: 2016-07-19 19:57:29 __Expected Audience__: 4
Il s'agit d'un sujet en provenance de l'article https://ogpsummit.org/osem/conference/ogp-summit/program/proposal/314

Je préviens que j’ai également convié l’assemblée du FSM (Forum Social Mondial) à Montréal de découvrir vos initiatives respective, ici. J’y suis active également à distance, depuis 2 mois environ.
Synergie des dynamiques et transparence de la mise en application des intentions, sont les bases de l’Art et de la Science holacrique, n’est-ce pas ?

Invitation à lire https://blogs.mediapart.fr/helenenivoixlapostenet/blog/050316/projet-de-monnaie-mondiale-ecologique-le-crocus-boite-outils, qui évoque une révision de l’indexation des valeurs et des salaires, : principe mondial pour monnaies respectivement locales ?

Par ailleurs, je suggère de remplacer le PIB par le BIB (Bonheur Intérieur Brut), suivant l’exemple du Bouthan. Sauf que la régence sera effectuée par un collectif organisé suite à un tirage au sort.
Les domaines de gouvernance collective, seront simplifiés en 4 axes de base de support. Lesquels seront l’Alimentation/Santé, l’Energie/Transport, le Logement/Emploi, Economie/Philosophie/Cultures. Et encore une fois, rappel d’une interconnexion holistique pour une gestion intelligente des ressources, des droits et des devoirs humains.

L’accès de tous à la terre et le droit de cultiver sont des préoccupations à la fois économiques, sociopolitiques et morales, par rapport auxquelles la propriété privée, exclusive et absolue, qui nous est devenue familière depuis le Code Civil issu de la Révolution française, n’a aucune pertinence ni aucune valeur.

La forme juridique du jardin partagé (que nous redécouvrons aujourd’hui à travers les travaux d’économistes comme Elinor Ostrom sur les biens communs) s’accompagne souvent d’une configuration bien précise : les lopins individuels, souvent organisés dans une grille et d’une taille équivalente, voisinent avec des terrains qui restent à la disposition des usages de tous, avec des friches et des réserves de terre pour l’avenir ou pour la rotation des plantations, avec des locaux à outils accessibles à tous ; aujourd’hui, dans les jardins communautaires des centres-villes, avec des pépinières, des centres d’accueil, des ateliers, une école, un lieu de conférence, parfois une unité de soin, etc. Que ce terrain se trouve à la ville ou à la campagne, il est lieu d’exercice de droits complexes qui limitent l’arbitraire et les caprices de l’individu autrement mieux que ne le fait le système de la propriété privée absolue et exclusive.

Mais le point important est surtout de remarquer la continuité, la complémentarité, la convergence entre le commun et l’individuel, et ce à un degré rarement atteint. Non seulement les gens associés aux jardins partagés n’ont pas à faire le sacrifice de leur individualité, mais au contraire en protègent le développement et l’alimentent…

Je suis étonnée du manque de réaction à toutes ces propositions. Innovations et esprit d’anticipation seront pourtant plus utiles que les spéculations que traînent et imposent les décideurs économiques actuels. Sortir du connu, urgent pour que dure un peu plus l’humanité terrestre. car ce n’est pas la planète qui est en danger, mais plutôt le genre humain…