Contribuer à OpenStreetMap consiste à compléter une base de données existante avec de nouvelles données.
En procédant ainsi, on n’est pas dépossédé de ses données. De plus OSM propose des dumps intégraux permettant de conserver une copie et toute archive éventuellement nécessaire des données qu’on aurait pu y verser.
La circulaire fait référence à la notion de « trésor nationaux »… notion qui est très peu adaptée à des bien non rivaux comme peuvent l’être des données que l’on peut copier à l’infini et ou la notion d’original et de copie n’a pas de fondement vu que les copies peuvent être identiques bit à bit à l’original…
Cette circulaire a le mérite de rappeler qu’il ne faut pas faire n’importe quoi et que le « cloud » n’est pas neutre ni magique et peut amener à une forme de dépendance.
Dans le cas d’OSM, toute la logique est inverse, les données sont disponibles pour tous, les outils permettant de les exploiter sont eux aussi libres dans leur immense majorité… pour permettre une totale indépendance.
Si l’on utilise un service de cartes personnalisées comme le propose OSM France avec son service umap (http://umap.openstreetmap.fr) les données ne quittent pas le territoire national… elle sont localisées en région parisienne. Bien entendu n’importe qui peut en faire une copie ailleurs, mais ça c’est une autre histoire et on revient aux biens non rivaux 
